En attendant que je me remette de mes concerts de ce week-end (The National & Pavement et LCD Soundsystem) je vous fait part de ma chronique sur le dernier album de Delorean, en lien avec les vidéos postées sur mon précédent post.
Changement de direction pour le quatuor basques de Delorean. Si leur maxi, Ayrton Senna (en hommage au pilote de course brésilien), se caractérisait par son esprit pop teinté de post-punk à la Rapture, ce nouvel album, Subiza, garde certes la même veine pop mais agrémentée cette fois d'une touche de disco. Le groupe, encensé par la critique l'an passé, est attendu au tournant.
Sur ce nouvel opus la technique est simple et efficace: des synthés, une guitare réverbée, une batterie, à la Drums, une électro soignée digne de Cut Copy et une voix comparable à la beauté de celle des suédois de jj [oui je l'ai déjà dit la dernière fois, je m'auto-pompe, c'est moche]. Pour autant si l'album s'ouvre sur l'entraînant "Stay Close", et que l'on frôle l'été sur le planant "Real Love", le reste tourne rapidement en rond. L'album n'est pas à proprement parler mauvais, fainéant à la rigueur, on en attendait plus des début prometteurs de Delorean. Au final, aucun morceau ne sort du lot, laissant une impression certes agréable mais d'aucun jugerait trop simple...
Comme la dernière fois je vous ai posté les deux seuls morceaux dignes d'intérêt de Subiza, je me trouve à présent toute dépourvue. Aussi, je passe du coq à l'âne en vous offrant le clip des Drums, "Forever & Ever".
1 commentaire:
Je ne connaissais des Drums que "Let's Go Surfing", et j'avais mis pas mal de temps à l'apprécier, cette chanson. Je pense qu'il en sera de même de "Forever & ever".
Je crois que pour le coup, c'est les mimiques du chanteur qui m'énervent.
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